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France. Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 

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Natasha St-Pier, un supplément d’âme dans son livre

C’est le regard tourné vers le ciel que la célèbre chanteuse canadienne Natasha St-Pier pose sur la couverture de son dernier livre : « Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes », sorti le 17 septembre 2025, aux Éditions du Rocher. Avec ce livre, Natasha St-Pier annonce un voyage vers la spiritualité bien au-delà des religions et nous parle de dix femmes considérées comme Saintes au fil du temps. Elle évoque également la très puissante inspiration que ces femmes du passé ont insufflé dans sa vie quotidienne de femme active moderne pour mieux vivre en pleine conscience sa vie actuelle.  

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Natasha St-Pier chante Jeanne à Rouen (À gauche). Thérèse de Lisieux en l’église de La Charité-sur-Loire (À droite). (Image : Captures d’écrans  / compte facebook de Natasha St-Pier)

Une chanson prémonitoire pour Natasha St-Pier

Natasha St-Pier, cette voix précoce, née dans le Nouveau-Brunswick au Canada, vit essentiellement en France. Celle qui prête sa voix et chante Jeanne d’Arc ainsi que Thérèse de Lisieux, serait également l’arrière-arrière-arrière-petite-cousine de Pie X confie-t-elle dans une émission présentée par Michel Drucker. Révélée en France dans les années 2000, elle sera choisie par son pays d’adoption comme la voix française pour le 46ème Concours de l’Eurovision en 2001, se tenant à Copenhague où elle finira 4ème. 

Le titre phare sera « Je n’ai que mon âme » écrit et composé par le frère de Jean-Jacques Goldman, Robert Goldman. 

Dans cette chanson déjà, les paroles semblaient faire écho au livre que Natasha St-Pier couche sur le papier aujourd’hui ...

Je n’ai que mon âme pour te parler de moi,
Oh juste mon âme, mon âme et ma voix.
Je sais tellement que l’amour a ses lois.
Mais que Dieu me damne si j’oublie ma voix.

Natasha St-Pier n’a pas oublié sa voix, et la met au service des Saintes du passé, au service des lecteurs d’aujourd’hui. Sa voix a trouvé sa voie...

Natasha St-Pier est une jeune femme joyeuse malgré les souffrances de sa vie, arborant une fleur de lotus dans le dos et sur le bras, elle voue beaucoup d’admiration pour les femmes fortes. Elle vit dans l’ère du temps, pratiquant la méditation et accompagnant les voix des Petits Chanteurs à la Croix de Bois pour célébrer Noël et les fêtes de fin d’année. Elle participe également activement à diverses actions caritatives. Sa vie moderne trépidante, lui laisse peu de répit, mais elle parvient toujours à trouver du temps pour une réflexion humaine intérieure, pour cultiver peut-être son supplément d’âme ?

Natasha St-Pier : un livre inspiré par des femmes du passé

Natasha St-Pier l’écrit très clairement... pour elle : « L’être humain n’est pas fait que de chair et d’os... »

Natasha St-Pier n’est pas qu’une magnifique voix, elle est également une très belle plume qui mérite d’être lue que nous soyons croyants ou pas, chacun y trouvera son compte en tant que simple mortel.

Pour Natasha St-Pier, « l’être n’est pas l’avoir. » 

Elle analyse finement le monde contemporain qui l’entoure sans tabou et avec sa sincérité.

Elle reste persuadée qu’en chacun de nous réside une part comme elle le souligne dans son livre, qui « a soif de beau et de vrai » et que « nous avons chacun nos chemins pour y accéder. »

Elle semble être de par son éducation dans l’amélioration constante d’elle-même...Dans l’action...pour elle-même et surtout pour les autres. D’être là pour les autres...

Par son voyage intérieur personnel, elle semble paradoxalement penser plus aux autres qu’à elle-même. Les deux étant peut-être le corollaire l’un de l’autre finalement ?

C’est donc lors d’un tour de chants dans une église que Natasha St-Pier fut particulièrement émue de constater que la religion offrait selon ses mots « plus qu’une place de choix aux femmes ». En effet, la découverte d’inscriptions gravées et dédiées à dix Saintes femmes sur un autel l’a bouleversée profondément, au point de semer la graine évidente de ce dernier livre en elle.

Ces dix femmes sont en effet, pour elle, plus inspirantes les unes que les autres. C’est alors qu’elle se questionne intérieurement : Et elle : « Est-elle, aussi courageuse qu’elles ? »

Natasha St-Pier et dix Saintes

Ainsi, chers lecteurs, vous découvrirez dans son livre comme elle le souligne délicatement :

  • Le courage de Jeanne d’Arc,
  • L’audace rebelle de Thérèse de Lisieux,
  • L’abnégation de Gianna Beretta Molla
  • La persévérance de Thérèse Bérénice de la Croix,
  • L’introspection de Thérèse d’Avila,
  • La fougue de Geneviève de Paris,
  • L’omniscience d’Hildegarde von Bingen,
  • L’intelligence politique de Catherine de Sienne,
  • Et la résilience de Marie. »

Une chose commune relie pourtant et connecte toutes ces femmes d’époques différentes entre elles. Il s’agit bien sûr de leur foi inébranlable, de leur engagement et de leur mission auprès de Dieu.

C’est un bien bel hommage que Natasha St-Pier écrit au nom de ces dix femmes qui ont traversé le temps et l’Histoire jusqu’à nos jours. Un beau chemin de sagesse laissé aux générations futures.  

Natasha St-Pier décrit simplement aux lecteurs comment certains hommes ou femmes peuvent être qualifiés de Saints ou de Saintes, décrit ce processus de canonisation qui peut prendre quelques années pour certains, à quelques siècles pour d’autres. Et nous découvrirons que ces saintes ne vivent pas forcément isoler du monde et sans descendance.

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Le Pape Pie XI en prière devant la statue de Sainte Thérèse, inaugurée dans les jardins du Vatican, le 17 mai 1927. (À gauche) (Image : wikimedia / Office de lisieux / Domaine public). Thérèse à l’âge de treize ans. (À droite). (Image : wikimedia / Auteur inconnu / Domaine public)

Natasha St-Pier : « la joie dans la souffrance » de Thérèse de Lisieux

Ainsi, Natasha St-Pier nous dépeint une Thérèse de Lisieux poétesse malgré la maladie qui la ronge, nous décrit une Thérèse de Lisieux pour laquelle chaque geste même infime de la vie quotidienne est un acte d’amour. En parlant d’elle, elle comprend mieux ainsi comme elle l’écrit : « La joie dans la souffrance » de Thérèse et le fait que ses précieux textes poétiques l’ont d’ailleurs accompagnée et guidée toute sa vie, lors de ses propres épreuves personnelles, notamment concernant son propre enfant. 

Aux yeux de Natasha St-Pier, toute la philosophie de Thérèse de Lisieux réside dans ces quelques phrases :

    Aimer c’est tout donner
Aimer c’est tout donner
Aimer c’est tout donner
Et se donner soi-même. 

La beauté de ses mots a toujours beaucoup inspiré la chanteuse. 

« Faire de manière extraordinaire des choses ordinaires »

Dans ce livre, le lecteur découvrira une Thérèse de Lisieux qui déjà enfant se passionnait pour la lecture des histoires de Chevalerie, c’est ainsi qu’elle découvrira d’ailleurs Jeanne d’Arc, une femme forte en son temps et une Thérèse qui sera elle-même animée par « le sourire de la Sainte Vierge » figé sur une statue au pied de son lit, une Thérèse qui étudie, lit, médite qui n’a de cesse de prier pour les âmes égarées et notamment pour celle d’un assassin nommé Henri Pranzini. Le lecteur apprendra ainsi qu’il exaucera les prières de Thérèse puisqu’il embrassera par trois fois la croix du prêtre à ses côtés lors de son exécution. 

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Canonisation de Thérèse de Lisieux le 17 mai 1925 dans la Basilique Saint Pierre de Rome. (À gauche). (Image : wikimedia /Auteur inconnu/Domaine public). La châsse et le gisant où repose depuis 1923 l’essentiel des restes de Thérèse de Lisieux , dans la chapelle du Carmel de Lisieux. (À droite ). (Image : wikimedia / RomkeHoekstra / Domaine public)

Le livre de Natasha St-Pier nous fera également découvrir une très jeune Thérèse de Lisieux qui voyage et qui n’hésitera pas à embrasser le sol du Colisée en souvenir de la persécution des Chrétiens, lors d’un périple en Italie, pour rencontrer le Pape Léon XIII.

Natasha St-Pier décrit une Thérèse de Lisieux ayant de l’humour subtilement insolent. Elle dévoile aussi ses conflits intérieurs qui la taraudent lorsqu’elle doit affronter ses doutes sur la vie après la mort et souligne finalement « la beauté de l’empathie » de Thérèse de Lisieux. Elle sera finalement canonisée le 17 mai 1925 par Pie XI à Rome.

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Statue polychrome en pied de Jeanne d’Arc (détail). L’armure est revêtue d’un surcot fleurdelysé ; à l’arrière-plan flotte une reproduction en soie de la bannière de la Pucelle. (À gauche) (wikimedia/Prosper d'Épinay/Domaine public).Statue de Jeanne d’Arc à Paris. Le modèle de la femme « guerrière » s’inspire du De milieribus claris de Boccace. (Au milieu) (Image : wikimedia/Dennis G. Jarvis / CC BY-SA 2.0).Lettrine historiée dite de Jeanne d’Arc à l’étendard, faux commis au tournant des XIXème et XXème siècles, Paris, Archives nationales. (En haut à droite). (Image : wikimedia / Domaine public). Blason Jeanne d’Arc. (En bas à droite). (Image : wikimedia/Travail personnel / Domaine public)

Natasha St-Pier : Jeanne d’arc, un courage inébranlable

Qui ne connaît pas Jeanne d’Arc ? Celle qui a traversé les âges, les temps historiques jusqu’à nos jours, celle qui est l’incarnation de « l’impossible réalisable ». Jeanne portant la Grande Histoire de France à bout de bras, sans jamais douter de son chemin.

Natasha St-Pier parle des Divinités qui lui sont apparues pour lui expliquer sa mission historique. Elle décrit très bien son courage sans faille, même face aux flammes le 30 mai 1431. Elle évoque les trois crémations successives également qui seront nécessaires « pour venir à bout de son cœur loyal et fidèle ». 

Elle dresse le portrait d’une Jeanne pleine d’humour également, si jeune mais si déterminée face aux moqueries des hommes, car ce ne sera qu’accompagnée par six hommes seulement qu’elle partira, cheveux coupés et vêtue comme un cavalier. Ceux-ci d’ailleurs voyant leur respect pour elle grandir de jours en jours au départ du 23 février 1429 pour rejoindre le Dauphin à Chinon. Natasha St-Pier raconte que c’est ainsi face à trois cents personnes qu’elle s’agenouillera devant son futur Roi, vêtu comme un rustre, pour la première fois sans jamais l’avoir vu parmi tous, celui-ci débarrassé de ses habits de Prince pour mieux la mettre à l’épreuve. Jeanne impressionna alors la foule entière. 

Ceci nous renvoie chers lecteurs à la célèbre maxime de Saint Exupéry : « On ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux. »

Ainsi, pour Natasha St-Pier, Jeanne d’Arc représente : « Le symbole d’une femme libre dont le courage a été plus fort que la peur, la ténacité plus grande que l’Histoire et sa Foi plus belle que la raison. »

Natasha St-Pier nous brosse également dans son livre d’autres Saintes, certes moins connues mais qui valent vraiment la peine que l’on apprenne d’elles.

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Photographie d’Édith Stein, prise immédiatement avant qu’elle quitte le Carmel de Cologne pour se réfugier au Carmel d’Echt, 31 décembre 1938.(À gauche). (Image : wikimedia/Auteur inconnu/Domaine public). Relique de l’habit de Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix dans la Cathédrale de Spire.(En haut à droite). (Image : wikimedia / p. schmelzle/CC BY-SA 3.0. )Edith Stein en 1920. (En bas à droite). (Image : wikimedia / Auteur inconnu / Domaine public)

Natasha St-Pier et Edith Stein, future Sœur Bénédicte de la Croix

Dans le chapitre dédié à Edith Stein et par son amour de la musique, Natasha St-Pier constate, comprend également que : « L’harmonie, c’est la réunion de plusieurs notes qui forment un accord. Aucune de ces notes qu’elles soient hautes ou basses ne prévaut sur une autre. Elles ont leur place, leur fonction, leur importance. Au même titre que l’homme et la femme sont égaux parce que leurs différences ne les séparent pas...Encore faut-il accepter ces différences pour que chacun reçoive de l’autre. »

« Être fidèle à ce que l’on est profondément et ne pas chercher à devenir ce que la société voudrait que l’on soit »

Voilà, Edith Stein « qui ne pliera jamais devant l’hydre nazie. »

C’est une femme authentique que Natasha St-Pier décrit ici, une femme qui parle vrai et n’a pas peur des conflits avec l’autre qu’elle traite quoiqu’il arrive avec « pédagogie. » 

« Ne jamais écarter les sujets les plus épineux... »

Elle parle de la « Théologie de la femme, qu’elle conçoit comme une mère, une procréatrice et une éducatrice. C’est la femme qui préside à tout ce que sera l’individu à venir. ». 

Pour Edith Stein devenue à 41 ans, Sœur Thérèse Bénédicte de la Croix continuant ses travaux philosophiques :

 « La recherche de Dieu commence par la recherche de soi. »

Restant fidèle à sa judéité et sa chrétienté, elle mourra en 1942 à Auschwitz. Jean-Paul II dira d’elle en 1987 qu’« elle a eu le courage de rester debout dans les ténèbres de ce monde. »

C’est un hommage puissant, que l’on pourrait d’ailleurs transposer peut-être à d’autres communautés d’aujourd’hui, celles qui portent les témoignages de ceux qui souffrent en silence, les invisibles aux yeux du monde, persécutés pour leurs croyances tels les pratiquants de Falun Gong en Chine par exemple.

Natasha St-Pier écrit d’ailleurs dans son livre : « Quand le monde s’assombrit, les cœurs doivent s’illuminer si on ne veut pas prendre le risque que nos destins soient crucifiés. »

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Hildegard of Bingen avec ses attributs d’abbesse et de Docteur. Auteur inconnu.(En haut à gauche). (Image : wikimedia/Auteur inconnu/Domaine public). Reliquaire de 1929, église Sainte-Hildegarde (Eibingen), Rüdesheim am Rhein, Allemagne. (En bas à gauche) (Image : wikimedia /RichHein/CCO). Retable de la chapelle Saint-Roch de Bingen, Allemagne. (À droite). (Image / RomkeHoekstra / CC BY-SA 4.0)

Natasha St-Pier et d’autres Saintes...

Venez découvrir, chers lecteurs, comment elle parle également de Sainte Hildegarde von Bingen et de ses 26 visions. Celle qui entra au couvent à 8 ans où elle apprendra l’art de traduire des textes ainsi que l’art de l’enluminure et qui 30 ans plus tard deviendra l’abbesse de son couvent. Natasha St-Pier écrit à son sujet qu’elle considère que « L’homme est cosmique, c’est-à-dire inexorablement lié à son environnement. Elle le considère comme étant au centre du monde, au cœur de la création divine, qu’il forme un tout uni aux éléments, le feu, l’eau, l’air et la terre, qu’il en est intrinsèquement constitué et que le déséquilibre de cette harmonie entraîne la maladie. »

Mens sana in corpore sano

Natasha St-Pier écrit d’ailleurs que « La gastronomie est un art, vivre en conscience est une vertu et mettre de la poésie dans son assiette, c’est donner un avenir à son corps. »

Natasha St-Pier : Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes 
Mariage de Jeanne Beretta, médecin pédiatre, et de Pierre Molla, ingénieur. (À gauche). (Image : wikimedia /Photographe inconnu/Domaine public). Statue de Sainte Jeanne Beretta Molla dans l’église du Covent Garden, aux États-Unis. (À droite) (Image : wikimedia /AndyScott / CC BY-SA 4.0)

Natasha St-Pier parle également de cette Sainte du temps où « les fascistes veulent former la jeunesse, l’endoctriner disent certains, mais aussi avoir le monopole de la bienveillance sociale » dans cette Italie « où un fascisme grandissant côtoie un communisme virulent », dans ce pays où Gianna Beretta Molla, cette femme médecin, pédiatre, mariée, cette mère de famille, se sacrifiera pour sauver la vie de son 4ème enfant avec une grande abnégation sans faille. 

Ainsi, la question cruciale du « sens de la vie, quelles qu’en soient les tragédies » émerge tout naturellement après la lecture du poignant chapitre sur cette femme déterminée... Les conséquences de nos choix sur nos vies aussi...

Natasha St-Pier écrit que suite à l’annonce de son décès : « D’elle-même, la manifestation communiste qui doit avoir lieu ce jour-là est ajournée », que « la bonté généreuse de Gianna Beretta Molla surclasse dans les cœurs tous les athéismes des plus forts, des agnostiques les mieux déterminés. »

Ainsi, une mère de famille peut également devenir une Sainte me direz-vous ? Et oui, des personnes ordinaires peuvent aussi devenir extraordinaires, c’est ce qui est beau et réconcilie avec le fait qu’un Saint ou une Sainte n’est pas forcément quelqu’un qui s’isole du monde dans des monastères ou dans les abbayes...Il y a aussi les Saints et les Saintes du quotidien qui s’ignorent sans doute ...mais qui sont bel et bien là, tout autour de nous. Les reconnaissez-vous ? Les voyez-vous ?

 Mais je ne vous en dis pas plus, si vous voulez le découvrir chers lecteurs, il vous suffira de lire le livre de Natasha St-Pier : « Mes très chères Saintes, Dix femmes inspirantes ». Vous découvrirez aussi les autres Saintes du livre dont nous n’avons pas parlé ici et ainsi, vous aussi peut-être voyagerez-vous vers votre moi intérieur en leur compagnie ? Peut-être ces Saintes du passé inspireront votre présent et vous aideront à mieux appréhender votre futur ? 

Nul doute que nous soyons : athées, croyants, agnostiques ou simple lecteur, le livre de Natasha St-Pier s’adresse à tous, ouvre à l’introspection infinie et invite à s’intéresser aux personnalités du passé pour mieux vivre en conscience dans le monde qui nous entoure. 

Et si vous passez par L’Isle Adam, Natasha St-Pier sera de retour avec sa tournée 2025/2026 sur « La Scène Adamoise » avec un spectacle inédit intitulé « Mon histoire d’amour, c’est vous », le vendredi 10 avril 2026 à 20H30. 

Si vous souhaitez en savoir plus, c’est par ici : 👉 ville-isle-adam.fr/la-scene-adamoise/natasha-st-pier-mon-histoire-damour-cest-vous

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