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Monde. Le Sommet mondial sur la lutte et la prévention du prélèvement forcé d’organes

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A l’occasion de l’Assemblée générale des Nations unies, cinq organisations non gouvernementales (ONG) des Etats-Unis, d’Europe et d’Asie organiseront conjointement le Sommet mondial sur la prévention et la lutte contre les prélèvements forcé d’organes (World Summit on Combating Live Organ Harvesting) sur deux week-ends, du 17 au 26 septembre, afin d’analyser à plusieurs niveaux, l’impact du crime atroce des prélèvements forcés d’organes sur les personnes vivantes et non consentantes par le Parti communiste chinois (PCC) et de proposer des mesures concrètes pour les prévenir.

Conclusions et évaluations objectives sur le prélèvement forcé d’organes

Cette initiative provient de cinq organisations non gouvernementales qui s’emploient activement à informer, éduquer et prévenir sur les prélèvements d’organes contraires à l’éthique et à promouvoir les droits fondamentaux de l’homme.

Ces ONG regroupent : Doctors Against Forced Organ Harvesting (Médecins contre le prélèvement forcé d’organes), CAP Liberté de Conscience, une ONG européenne, Transplant Tourism Research Association (Association de recherche sur le tourisme de transplantation) du Japon, Korea Association for Ethical Organ Transplants (Association coréenne pour des transplantations d’organes éthiques) de la Corée du Sud, et Taïwan Association for International Care of Organ Transplants, TAICOT (Association taïwanaise pour les soins internationaux des transplantations d’organes). Les cinq ONG organisatrices travaillent depuis longtemps en Europe, aux États-Unis et en Asie pour mettre fin à ces atrocités et défendre la liberté de pensée.

Le serment de « ne pas nuire », propre à la profession médicale, a été sacrifié au profit d’objectifs professionnels et politiques. Les politiciens et les décideurs sont tiraillés entre le bien-être de leurs électeurs et des intérêts particuliers. De nombreux membres des médias n’ont pas rapporté la vérité sur cette atrocité mais ont cédé à la pression du PCC et publié à la place de la propagande payante. Les sociétés du monde entier sont tenues dans l’ignorance des dangers de devenir complices de ce crime contre l’humanité. La profession juridique est appelée à mettre un terme à ce crime inacceptable, sans précédent.

Le sommet souhaite fournir à la communauté internationale et mondiale des conclusions et des évaluations objectives sur les prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes non consentantes.

Le sommet réunira une trentaine d’experts de différents domaines, venant de 19 pays, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, la Corée, la France, l’Espagne, l’Italie, le Canada, la Pologne, le Danemark, le Chili, Cuba, la Suisse, l’Allemagne, la Suède, l’Irlande, Taïwan, l’Argentine et Israël. Ce sont notamment des membres du Parlement européen, une ancienne ministre française, des députés, des médecins, des universitaires, des professeurs, des juges, des avocats et des militants des droits de l’homme.

Prévention et lutte contre les prélèvements d’organes sur des personnes vivantes et non consentantes

Les experts intervenants aborderont les effets considérables des atrocités commises par le PCC en matière de droits humains, relatives à la dignité humaine, à la vie et tous les aspects de la vie, ainsi que des moyens de combattre et de prévenir ces atrocités qui sont contraires à l’éthique et à la promotion de l’éthique médicale et des droits humains fondamentaux.

À l’issue du sommet, les organisateurs lanceront publiquement une « Déclaration mondiale sur la prévention et la lutte contre les prélèvements forcés d’organes, appelant le public du XXIe siècle à signer la déclaration mondiale et à lancer des activités dans le monde entier pour mettre la déclaration en pratique à l’issue de l’événement. »

Depuis 2013, plus de deux millions de personnes ont signé une pétition dans la communauté internationale demandant à l’ONU d’enquêter sur les atrocités liées aux prélèvements forcés d’organes. En juin de cette année, 12 experts des droits de l’homme des Nations unies ont publié une déclaration commune exprimant leur consternation face aux prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants de Falun Gong, les Ouïgours, les Tibétains et les chrétiens, entre autres groupes religieux et minorités ethniques. Les organisateurs ont souligné que les prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes, par le parti communiste chinois, n’a pas cessé depuis 20 ans.

Les organisateurs ont souligné que l’atrocité des prélèvements forcés d’organes sur les personnes vivantes commises par le Parti communiste chinois, ne concerne pas seulement la communauté du Falun Gong et les minorités ethniques, mais qu’elle est aussi une atteinte directe à la dignité inaliénable, de la vie, du corps, de la liberté et des valeurs de survie de l’ensemble de la race humaine. Tous les habitants de cette planète devraient se dresser contre l’atrocité des prélèvements forcés d’organes, non seulement pour rendre justice aux groupes de victimes, mais aussi en tant qu’individus qui devraient se défendre eux-mêmes.

Grâce au sommet mondial, les organisateurs espèrent créer un consensus international plus large, afin que davantage de personnes comprennent que les prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes, par le PCC, est une atrocité contre l’humanité qui ne peut être tolérée ni ignorée, et qu’elle doit cesser.

Le Sommet mondial contre les prélèvements forcés d’organes est ouvert à tous et son inscription en ligne est gratuite.

Agenda du sommet

Session 1 : La médecine

La médecine de transplantation à la croisée des chemins : une profession fondée sur l’éthique usurpée et réaffectée à l’extermination de masse.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/Transplant-medicine-at-a-crossroad-An-ethics-based-profession-usurped-and-repurposed-for-genocide
17/09 (ven) 14h-16h30 (heure de paris))

Session 2 : La profession juridique

Responsabilité pour le crime des prélèvements forcés d’organes.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/Pursuing-accountability-for-forced-organ-harvesting-crimes
18/09 (sam) 14h-16h30 (heure de paris)

Session 3 : La politique

Les hommes politiques, en tant que gardiens et leaders de la société, ont la responsabilité de lutter contre les prélèvements forcés d’organes.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/Politicians-as-the-stewards-and-leaders-of-society-have-a-responsibility-to-combat-forced-organ-Récolte
19/09 (dim) 14h-16h30 (heure de paris)

Session 4 : Les médias

Silence des médias et autocensure sur le crime des prélèvements forcés d’organes.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/Silence-and-self-censorship-by-the-media-regarding-forced-organ-harvesting-crimes
24/09 (ven) 14h-16h30 (heure de paris)

Session 5 : La société civile

L’impact des prélèvements forcés d’organes sur notre société.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/The-impact-of-forced-organ-harvesting-on-our-society
25/09 (sam) 14h-16h30 (heure de paris)

Session 6 : L’élaboration des politiques

Législation politique pour lutter contre le crime des prélèvements forcés d’organes.
https://www.bigmarker.com/Dafoh/Policies-and-legislation-to-respond-to-forced-organ-harvesting-crimes
26/09 (dim) 14h-16h30 (heure de paris)

Rédacteur Yi Ming

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