Les aliments à haute vibration offrent bien plus que les vitamines et les minéraux. (Image : yanadjana / envato)
Appréciez-vous les aliments à haute vibration ? Beaucoup d’entre nous se préoccupent de leur alimentation, mais il semble que nous soyons tous concentrés sur quelque chose de différent, ce qui rend difficile de partager un dîner avec des amis ou d’organiser une fête. Alors, s’il y avait un moyen de regrouper tous nos espoirs avec quelques directives de base pour bénéficier d’une alimentation saine et de meilleures habitudes alimentaires ? Commençons par parler de la fréquence vibratoire des aliments
La fréquence vibratoire des aliments
Si vous avez traversé la physique du secondaire, vous comprenez probablement que, au niveau microscopique, tout est en mouvement. Que ce soit le métal, le bois, l’eau ou le corps humain, tout a sa fréquence naturelle à laquelle il vibre. Bien sûr, cela est invisible à l’œil nu, mais les instruments scientifiques qui peuvent mesurer la fréquence vibratoire ont révélé qu’un corps humain sain vibre normalement à un taux relativement élevé de 65 à 75 MHz.
Vous avez également entendu le dicton : « Vous êtes ce que vous mangez. » Bien sûr, cela ne signifie pas que manger des légumes, c’est être un légume. Cela signifie simplement que nos choix alimentaires ont un impact sur la façon dont nous nous sentons émotionnellement, sur notre énergie physique et sur notre santé globale. Cela a été démontré dans des tests et des expériences scientifiques. Il existe cependant une douzaine de régimes différents qui disposent d’informations contradictoires : « Ne mangez pas de gras ! Ne mangez pas de céréales, de produits laitiers, de sucreries ! » Frustré et perplexe, on se demande alors : « Que dois-je manger ?»
La réponse réside peut-être dans le concept de résonance. La résonance se produit lorsque l’énergie vibratoire est transférée d’un objet à un autre, mais elle ne se produit que lorsque l’objet numéro un vibre à la fréquence naturelle de l’objet numéro deux. Pour une santé optimale, Il est donc logique de consommer davantage d’aliments dont la fréquence vibratoire correspond à votre fréquence naturelle. En revanche, consommer des aliments dont la fréquence vibratoire est en dehors de cette plage provoque une dissonance, ce qui peut provoquer de l’agitation, de l’anxiété, une léthargie, un manque de concentration, de la fatigue, voire une dépression. .
Pour étayer ce concept, des sentiments positifs comme l’altruisme, la gratitude et l’amour ont une énergie vibratoire élevée. Alors que les émotions négatives comme la jalousie, le ressentiment et la tristesse ont une faible énergie vibratoire. Nous savons tous que lorsque nous nous sentons bien émotionnellement, nous nous sentons aussi mieux physiquement. Lorsque nous nous engageons sur un chemin spirituel, nous purifions notre cœur pour établir une connexion avec le Divin, ce qui nous permet de libérer progressivement toutes ces pensées et émotions négatives. Si nous devenons également sélectifs en ce qui concerne l’énergie que nous consommons, les effets de guérison holistiques peuvent être profonds.
Évaluer les vibrations alimentaires
Nous souhaitons donc manger des aliments qui correspondent à notre fréquence vibratoire naturelle. Mais comment pouvons-nous savoir quelles vibrations sont résonnantes et lesquelles sont dissonantes ? Essayez de penser à la nourriture en termes de qualité plutôt que de quantité, de vitalité plutôt que de calories et de simplicité plutôt que d’élaboration.
Par exemple, les fruits et légumes frais regorgent de vie, d’énergie et de nutriments : ils vibrent à une fréquence élevée. Les aliments fortement transformés sont dépouillés de leur nutriments : ils vibrent à une fréquence très basse. Les aliments végétaux sont plus proches de la source d’énergie (haute fréquence), tandis que les produits d’origine animale sont à un pas ou deux de la source (fréquence plus basse.) Les aliments crus et fermentés sont plus vivants (haute fréquence) que les aliments cuits.
Les produits frais, cultivés localement et organiquement, portent des vibrations exceptionnellement élevées. (Image : RossHelen / envato)
Il n’est pas surprenant que les aliments issus de l’agriculture biologique aient une fréquence plus élevée que ceux cultivés avec des engrais chimiques et des pesticides, et que les aliments cultivés localement soient plus frais (fréquence plus élevée) que ceux expédiés à l’autre bout du monde. La nourriture qui a été préparée avec amour et soin a également une fréquence plus élevée que les produits industriels ou de restauration rapide. Enfin, les aliments consommés avec gratitude et pleine conscience auront une vibration plus élevée que ceux consommés à la hâte ou avec dégoût.
Bien sûr, cela ne veut pas dire que nous devrions tous adopter un régime végétalien et crudivore et ne consommer que nos produits du jardin - loin de là. Pour obtenir l’ensemble des nutriments nécessaires, nous devons maintenir une alimentation diversifiée. Prendre en compte les vibrations alimentaires est simplement un guide pour nous aider à faire des choix sains sur une échelle mobile. C’est une approche indulgente de l’alimentation où vous pouvez profiter de la plupart des aliments avec modération, en privilégiant ceux qui vous correspondent et moins ceux qui ne vous correspondent pas.
Comprendre les aliments à faible vibration
Malheureusement, les aliments à faible teneur énergétique sont omniprésents. Ils sont pratiques, créent une certaine dépendance et sont difficiles à éviter. La restauration rapide, la malbouffe, les viandes transformées, le sucre raffiné et la farine blanche sont offerts dans presque tous les rassemblements, sans parler du café et de l’alcool. Ces aliments vous privent d’énergie car ils offrent peu ou pas de nutriments et sont difficiles à assimiler par l’organisme.
Les aliments à faible vibration ont tendance à faire grimper et chuter votre glycémie, à perturber votre microbiote intestinal fragile et à surcharger votre organisme de toxines (colorants, arômes et hormones artificiels, pesticides et conservateurs, pour n’en citer que quelques-unes. Une alimentation riche en aliments à faible vibration peut entraîner des addictions, de l’anxiété, des fringales, des troubles digestifs, de la fatigue, une baisse d’énergie, des inflammations et de l’irritabilité. Alors pourquoi en mangeons-nous ?
En tant que l’une des plus grandes industries du monde, L’industrie agroalimentaire dépense des sommes colossales, non seulement en publicité, mais aussi pour concevoir des aliments soigneusement sélectionnés qui stimulent notre cerveau, même s’ils n’apportent que peu à notre corps. Parce que ces aliments ont bon goût, même s’ ils manquent de valeur nutritive, nous y revenons sans cesse pour une satisfaction à court terme, sans nous rendre compte des effets désastreux à long terme.
Vous rechignez à payer 89 centimes pour une pomme bio, mais vous déboursez volontiers un dollar pour un beignet ? (Image : macniak / envato)
Nous avons également la fausse impression que les aliments sains sont trop chers. En réalité, une étude examinant les effets de changements alimentaires chez des personnes souffrant de dépression clinique a révélé que le choix d’aliments plus naturels et non transformés leur permettait d’économiser de l’argent, sans parler de la réduction des frais médicaux à mesure que leur santé s’améliorait.
Transition vers des aliments à haute vibration
Adopter des aliments à haute vibration n’est pas forcément douloureux, ni même difficile. Ne pensez pas qu’il s’agit d’éliminer des aliments de votre alimentation (ce qui serait une perte), mais de les remplacer par des options plus saines (ce qui serait une véritable aventure) ! Procédez à une transition par étape et accordez-vous un mois pour vous y habituer avant d’ajouter quelque chose de nouveau.
Par exemple, si vous aimez manger un paquet de chips au déjeuner, remplacez-les par des bâtonnets de carotte ou de céleri (toujours croquants, bien plus nutritifs et moins chers). Si vous êtes un grand buveur de café, essayez de réduire votre consommation à une tasse par jour le mois prochain, ou, si vous n’en buvez déjà qu’une seule, remplacez-la par du thé vert ou un substitut de café aux herbes. Si vous avez l’habitude de manger sur le pouce, vous pourriez commencer à réserver un repas par jour pour vous asseoir et savourer pleinement votre repas.
Il n’est pas nécessaire de suivre un ordre particulier : abordez simplement ce que vous êtes prêt à entreprendre. Vous ferez des erreurs parfois, mais ne vous en faites pas. L’idée est de vous habituer à manger des aliments plus énergétiques, et non de vous imposer des limites.
Continuez ainsi, en remplaçant peut-être les desserts par des fruits frais le mois prochain. Ensuite, commencez à remplacer les féculents pauvres en nutriments par des céréales complètes. Si vous aimez les produits laitiers, consacrez un mois à vous procurer des produits de qualité, issus de pâturages et biologiques. Ils coûtent peut-être un peu plus cher, mais le jeu en vaut la chandelle. Si vous fréquentez les fast-foods, vous pourriez passer quelques mois à apprendre à préparer des repas simples à la maison.
Au bout de 12 mois, vous aurez complètement changé votre alimentation. Si vous documentez le processus, vous pouvez regarder en arrière et voir jusqu’où vous êtes parvenu, et vous serez probablement inspiré pour continuer.
Parce que les aliments à basse vibration sont omniprésents, il semble impossible de les éviter complètement de nos jours, mais si nous nous tournons tous vers des aliments à vibration plus élevée, la situation pourrait changer. En augmentant notre fréquence, nous découvrirons que les aliments à basse vibration ne nous attirent plus, et une conscience collective libérée des aliments à basse vibration pourrait avoir le pouvoir de bouleverser l’industrie agroalimentaire. Ne serait-ce pas formidable ?
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