La Commission nationale chinoise de la santé a récemment proposé un programme pilote pour une politique globale de contrôle des naissances dans la région du Nord-Est de la Chine, dont la population est en déclin.
Cette année marque le centenaire de la fondation du Parti communiste de Chine (PCC). Le secrétaire général du PCC, Xi Jinping, a participé à la réunion de mobilisation du 20 février et a prononcé un discours sur l’apprentissage de l’histoire du parti et l’éducation.
On dit souvent que « l’histoire est une poupée à habiller ». Malgré cela, si certaines personnes veulent vraiment modifier l’histoire, la plupart d’entre elles, contraintes par la justice sociale et la morale humaine, n’osent le faire qu’en secret.
Outre la rupture de stock des chrysanthèmes sur le marché des fleurs avant le Nouvel An, les informations du service local des affaires civiles montrent également qu’au cours du premier trimestre de l’année dernière, plus de 150 000 personnes âgées de la province de Hubei ont soudainement disparu du registre des allocations.
Le 7 février a marqué le premier anniversaire de la mort de Li Wenliang, considéré par beaucoup comme un héros en Chine. Les autorités chinoises ont fait taire cet ophtalmologue de Wuhan qui tentait d’avertir le public de l’apparition de l’épidémie pendant les premières étapes de la pandémie de Covid-19.
L’année dernière, la Chine a déclaré publiquement son intention d’élargir sa base de données ADN mondiale. Selon l’organe de propagande de l’État Xinhua, lors du 15e sommet des dirigeants du G20 le 21 novembre 2020, le président Xi Jinping du Parti communiste chinois (PCC) a déclaré « Nous devons continuer à harmoniser les politiques et les normes et établir des « voies rapides »
Pékin a décidé que les messages postés sur les réseaux sociaux des journalistes doivent être vérifiés et approuvés avant que leur carte de presse ne soit renouvelée dans le cadre du processus annuel de contrôle et d’examen.
Les autorités chinoises ont placé certains quartiers de Shanghai sous confinement, la ville ayant été récemment touchée par une nouvelle vague d’infections au virus du PCC.
Le 28 décembre, la journaliste citoyenne chinoise Zhang Zhan a été jugée et condamnée par les autorités chinoises pour avoir « Cherché des querelles et provoqué des troubles ».
Selon un rapport de Reporters Sans Frontières (RSF) et du Comité pour la protection des journalistes (CPJ), le nombre de journalistes emprisonnés dans le monde entier a augmenté depuis l’année dernière.
En octobre, le célèbre entrepreneur chinois Jack Ma a prononcé un discours à Shanghai dans lequel il a critiqué le Parti communiste chinois (PCC), avertissant que les tentatives du régime de contrôler les risques financiers étoufferaient l’innovation. Depuis, le multimilliardaire fait face aux répercussions.
Avec la situation actuelle en Chine, où la minorité musulmane ouïghoure fait face à une vague d’atrocités, plusieurs groupes d’activistes ont exprimé leurs préoccupations quant à la situation et aux conditions de vie de cette minorité ethnique.
Le 17 décembre, il a été révélé que le groupe chinois Alibaba avait développé un logiciel de reconnaissance faciale afin de détecter les visages des Ouïghours et d’autres minorités ethniques dans les photos et les vidéos.
Dans le sillage de la pandémie mondiale du Covid-19, le Parti communiste chinois (PCC) a fait une déclaration très médiatisée selon laquelle « la Chine est l’un des pays les plus en avance en matière de recherche et de développement de vaccins »...
En juillet de cette année, suite à l’annonce aux États-Unis que des sanctions pourraient être imposées aux membres du PCC et à leurs familles, une liste de 1,95 million de membres du PCC enregistrés à Shanghai a été révélée sur Internet.
L’Alliance interparlementaire sur la Chine (IPAC) regroupe une centaine de parlementaires d’une quinzaine de pays (principalement européens mais également d’Amérique du Nord, du Japon ou encore d’Australie).
Dans la matinée du jeudi 10 décembre le département d’Etat américain a sanctionné plusieurs fonctionnaires étrangers pour leur implication dans des mises à mort extrajudiciaires et politiquement motivées ainsi que de graves violations de la liberté religieuse, incluant la persécution du Falun Gong.