En 2007, un récit mystique publié sur le site Minghui évoque la vie antérieure de Hu Jintao, ancien dirigeant chinois. Ce récit, empreint de spiritualité orientale, raconte comment un roi d’Asie du Sud aurait été sauvé par une divinité avant de se réincarner en Chine pour une mission historique. Ancrée dans les croyances traditionnelles sur la réincarnation et le karma, cette histoire interroge sur le destin et les choix qui façonnent l’existence de cet ancien dirigeant chinois.
Le souvenir mystérieux de l’auteur
Lorsque l’auteur de ce récit a aperçu pour la première fois Hu Jintao à la télévision, alors directeur de l’École centrale du Parti communiste chinois, un étrange sentiment de familiarité s’est emparé de lui. Ce visage lui semblait connu, presque intime, accompagné d’un sentiment inexplicable de proximité et d’inquiétude.
Quelques jours plus tard, aux premières heures de l’aube, entre veille et sommeil, une scène a surgi dans son esprit avec une clarté saisissante : les rives du lac Hujin. C’est alors qu’il a compris le lien historique qui l’unissait à celui qui allait devenir le dirigeant chinois.
La vie antérieure de Hu Jintao : un roi au bord du lac Hujin
Dans une vie antérieure, un vieux roi d’Asie du Sud approchait de sa fin sans avoir désigné d’héritier. Ses fils se disputaient le trône, chacun cultivant ses alliés parmi les ministres de la cour. Au printemps, le monarque entreprit une dernière tournée à travers son royaume pour saluer ses terres et son peuple.
Sur le chemin du retour vers son palais, la caravane royale fit halte au lac Hujin, littéralement le « lieu de la fortune dorée ». Cerné de montagnes aux reliefs doux, ce site enchanteur était réputé pour sa beauté naturelle et pour les femmes gracieuses qui y vivaient, toutes expertes en chant et en danse. Chaque soir, des feux illuminaient les berges tandis que l’eau cristalline reflétait la splendeur céleste et terrestre.
Une nuit de clair de lune, le vieux roi ressentit un malaise. À peine s’était-il assis pour se reposer qu’une douleur fulgurante le terrassa. De retour dans ses appartements, son état empira brutalement : des spasmes insoutenables le firent se tordre sur sa couche, rouler du lit au sol, d’une pièce à l’autre.
Le châtiment d’une cruauté passée
Devant cette agonie, les ministres comprirent que la fin du roi était proche. Ils s’éclipsèrent un à un pour prévenir leurs nouveaux maîtres. Mais pourquoi ce souverain souffrait-il d’un mal si étrange et si violent ?
Durant son règne, il avait fait arracher les tendons des condamnés à mort et les avait écorchés vifs, infligeant des supplices d’une cruauté extrême. La loi du karma le rattrapait. À l’heure de sa mort, il endurait le même châtiment : depuis la nuque, chaque tendon était extrait comme un fil de soie, commençant par les doigts, puis les orteils. Cette souffrance, transposée dans le corps physique, le faisait se rouler de douleur sur le sol.
Au moment où l’esprit se détache du corps charnel, toute confusion disparaît et la conscience s’illumine. Avant son dernier souffle, le roi hurla dans un cri déchirant : « Dites à mes descendants que tout dans ce monde n’est qu’apparence, seules les bonnes actions comptent vraiment ! » Il répéta ces mots jusqu’à ce que sa voix s’éteigne progressivement.
L’intervention d’une divinité bienveillante
L’auteur du récit se présente alors comme une divinité mineure, la plus proche de l’espace humain. Lorsqu’une pensée vertueuse jaillit du cœur d’un être, elle résonne dans tout l’univers. Touché par le cri du roi, ce petit dieu usa de ses pouvoirs pour atténuer ses souffrances. Ce hurlement alerta également une divinité supérieure, un être immense dont le corps ressemblait à une montagne, à la peau d’un rouge-blanc délicat.
Planant jusqu’au roi agonisant, cette grande divinité déclara avec solennité : « Puisqu’il reste en toi une étincelle de bonté, je viens te secourir. Les forces corrompues de l’univers se sont matérialisées en un dragon écarlate maléfique qui ravage le monde humain. L’humanité va affronter une terrible épreuve. Si tu acceptes de m’aider dans la rectification de la Loi sur terre, tu échapperas à jamais à l’océan de souffrances. Es-tu prêt ? »
Le roi, qui venait d’endurer le supplice des tendons et redoutait l’écorchement à venir, s’empressa de répondre : « Oui, je vous suivrai dans le monde mortel pour vous assister dans la rectification de la Loi et éliminer ce dragon maléfique. »
La grande divinité prit le roi dans sa paume et s’éleva dans les airs. Au-dessus du lac Hujin, elle lui adressa un dernier avertissement solennel : « Souviens-toi de ce lieu, souviens-toi des tourments infernaux, souviens-toi de ton serment. »
La promesse d’un nom prédestiné
Le roi baissa les yeux vers ce lac Hujin qui lui inspirait désormais de l’effroi et supplia la divinité de l’emmener loin de là au plus vite.
La grande divinité déclara : « Pour que tu n’oublies pas ton engagement, tu t’appelleras Hujintao (祜金逃, "s’échapper du lac de la fortune dorée "). Une fois réincarné, garde précieusement ta véritable nature. »
Le roi acquiesça avec empressement : « Je m’appelle Hujintao, je m’appelle Hujintao. Je dirai à mes descendants que les bonnes actions sont l’essence même de l’existence. » La divinité usa de ses pouvoirs pour le faire renaître dans le monde humain. Ce roi devint l’actuel dirigeant chinois Hu Jintao (胡錦濤), dont le nom est l’homophone de Hujintao.
Un témoin entre deux mondes
Le narrateur a affirmé avoir observé toute cette scène avec clarté, devenant ainsi le témoin unique de la vie antérieure de Hu Jintao. Pressentant qu’un événement majeur allait bouleverser le ciel et la terre, il a imploré la grande divinité de le faire renaître également dans le monde mortel.
Une fois réincarné, sa mémoire a été effacée et tout a sombré dans l’oubli. Il est né dans une famille dépossédée de tous ses biens par le régime communiste et a grandi dans la discrimination. Pourtant, la grande divinité a continué de lui apparaître en rêve pour l’éveiller et le guider, veillant à ce qu’il ne s’égare pas, jusqu’à ce qu’il découvre le Falun Dafa après avoir frôlé la mort à plusieurs reprises.
Avant même sa pratique spirituelle, il appartenait à ces êtres naturellement tournés vers la spiritualité. Malgré les malheurs et catastrophes vécus par tous les Chinois, malgré les souffrances et la confusion partagées par ses compatriotes, les apparitions régulières de la divinité dans ses songes lui ont conféré une sérénité et un détachement inhabituels pour son âge. Face aux grands choix moraux, il a su garder son intégrité, vivant des expériences extraordinaires.
Un appel à honorer un serment ancien
L’auteur conclut son témoignage en se présentant comme l’unique témoin du supplice subi par le dirigeant chinois dans sa vie passée. En partageant ce récit, il espère réveiller chez lui le souvenir du lac Hujin et l’inciter à honorer la promesse faite sur ses rives. Le fait que le ciel lui ait révélé cette vision ne serait nullement fortuit : il s’agirait d’une ultime chance offerte par les forces célestes pour le sauver.
Selon l’auteur, les divinités ne tolèrent pas que l’on ne prenne pas au sérieux leur compassion. La dissolution du Parti communiste chinois serait une volonté céleste inéluctable. Pour Hu Jintao, la question ne serait pas de savoir s’il le souhaite, mais de choisir entre un avenir radieux ou une destruction éternelle.
Selon les informations publiées par les autorités chinoises, Hu Haifeng, le fils de l’ancien président chinois Hu Jintao, a été nommé vice-ministre des Affaires civiles de la République populaire de Chine le 16 janvier 2024. Il est chargé de l’administration des organisations sociales et supervise l’enregistrement et la gestion des associations nationales, des fondations et des organisations non gouvernementales privées.
Selon la réglementation chinoise relative à l’enregistrement des associations, toutes les organisations sociales doivent être enregistrées auprès du ministère des Affaires civiles chinois, sous peine d’être considérées comme illégales. Cependant, le Parti communiste chinois (PCC), parti au pouvoir, et les huit partis démocratiques qui le soutiennent ne se sont jamais enregistrés auprès du ministère des Affaires civiles, ce qui constitue une lacune juridique controversée depuis longtemps.
Dans une position privilégiée pour démanteler le régime communiste, la famille de Hu Jintao aurait devant elle l’exemple de l’effondrement du communisme est-européen, présenté comme un signe montré par les divinités. Cependant, si Hu Jintao restait lié au Parti communiste chinois, l’histoire lui réserverait bien plus que les simples tourments du supplice des tendons et de l’écorchement de sa vie passée.
Rédacteur Yi Ming
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