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Monde. Un député italien : le PCC est un virus pour la Terre

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Un député italien : le PCC est un virus pour la Terre ! (Image : Capture d’écran /Youtube)
 

L’Italie est actuellement le pays le plus touché par le virus du PCC (Covid-19), en dehors de la Chine. Il y a quelques jours, Maurizio Gasparri, membre du Sénat italien et ancien ministre des Communications, a critiqué le Parti communiste chinois (PCC) pour avoir menti en annonçant sans arrêt que le PCC aide l’Italie et les pays européens. En réalité, ces matériels ont été achetés avec leur propre argent.

Maurizio Gasparri a également critiqué le PCC pour ses torts causés au monde entier, la Chine sous le régime du PCC est non seulement le pays le plus polluant, mais aussi un pays qui fait du commerce international avec des moyens inappropriés, entrainant ainsi les autres pays dans la crise économique. Cette fois-ci, le PCC a même dissimulé la vraie situation de l’épidémie auprès de tous les pays, plongeant le monde entier dans une catastrophe sans précédent. A la fin de sa vidéo, il déclare : « La Chine est une tumeur pour le monde ».
 

Sa vidéo a tout de suite suscité des réactions explosives sur Internet, et certains internautes ont retweeté la vidéo en précisant que la tumeur, c’est le PCC, pas la Chine. D’autres internautes pensent que Maurizio Gasparri mérite de gouverner l’Italie.

Le Parti communiste chinois a annoncé il y a quelques jours qu’il avait livré des fournitures médicales vers l’Italie avec un vol spécial, mais des médias italiens ont remis en question cette nouvelle et l’ont traitée de «fake news» en précisant que ces mille respirateurs et des dizaines de milliers de masques avaient été achetés par l’Italie, il ne s’agit donc pas d’un don mais d’une pure transaction commerciale.

Le journal italien Il Foglio a souligné que le ministre italien des Affaires étrangères Luigi Di Maio, avait toujours utilisé le terme «l’aide de la Chine» en parlant de ces matériels et trompé le peuple italien. En fait, il s’agit d’une transaction commerciale entre la Chine et l’Italie. Di Maio a récemment appelé le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi, pour passer la commande d’achat, et Wang Yi était en charge de lui trouver des fournisseurs chinois.

L’article de Il Foglio est écrit par Guilia Pompili, une journaliste italienne bien connue qui dévoile fréquemment les scandales chinois. Elle a écrit dans l’article : « Le ministre italien des Affaires étrangères a annoncé que la Chine donnerait à l’Italie 20 000 combinaisons de protection,  50 000 doses de réactifs de diagnostic, 100 000 masques et 1 000 respirateurs. Un grand nombre d’internautes italiens ont remercié la Chine et pensaient que la Chine n’était pas comme l’UE, et que l’aide de Chine a témoigné d’une réelle solidarité et amitié. Mais vous ne trouvez pas ça bizarre ? ».

Guilia Pompili a souligné que le PCC avait récemment promu activement et dans le monde entier le « modèle chinois pour lutter contre l’épidémie » et que maintenant, il exporte en grande quantité des fournitures médicales, il s’agit en réalité de la deuxième vague de propagation politique du Parti communiste chinois. Si vous observez de près les médias officiels chinois, vous constaterez que ces propagandes sont axées sur le thème de « la Chine caritative ». En plus de l’Italie, le PCC a également prévu de faire pareil dans d’autres pays européens.

Le média en ligne italien « Formiche » a rapporté que l’amitié sino-italienne est une « fake news » car l’Italie ne sert que de tremplin pour le déploiement du PCC en Europe. C’est la raison pour laquelle l’Italie ne peut pas s’attendre à obtenir gratuitement des équipements de soins respiratoires coûteux. Non seulement l’Italie aura à subir les conséquences de l’utilisateur-payeur, mais elle devra aussi faire face à des conséquences politiques très lourdes.

En Italie, le pays le plus touché en Europe, le nombre de décès augmente de centaines de personnes chaque jour. Au 17 mars, le nombre de décès signalés atteignait déjà 2158, deuxième pays derrière la Chine dans le monde, et 27980 personnes au total avaient été diagnostiquées.

Le New York Times a décrit ainsi l’état actuel à Bergamo, une petite ville dans le nord de l’Italie : la morgue est inondée de cadavres, et les rangées de cercueils s’entassent dans les églises. Dans le journal local L’Eco di Bergamo, le nombre des annonces nécrologiques est passé d’une page à 10 pages.

Rédacteur Caroline Daix

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