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Monde. Pennsylvanie : 1,2 million de votes frauduleux ?

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Phil Waldron, ancien expert en cybersécurité de l’armée américaine, témoin d’une fraude électorale présumée, affirme que plus d’un million de votes en Pennsylvanie pourraient être invalidés. (Image : Capture d’écran / YouTube)

Le 25 novembre, la commission politique du Sénat de Pennsylvanie du GOP a tenu une audition publique pour discuter des irrégularités et d’autres questions relatives aux élections de 2020. Phil Waldron, un colonel à la retraite en cybersécurité qui a servi dans l’armée américaine pendant trois décennies, a témoigné que plus d’un million de votes en Pennsylvanie pourraient être frauduleux.

Phil Waldron a commencé son discours en disant que les systèmes de vote utilisés aux États-Unis étaient « construits pour être manipulés ». Que ce soit l’ESNS qui a été utilisé à Philadelphie ou le système de vote Dominion utilisé à Pittsburgh, ces systèmes ont un code et une fonction similaires. Il souligne que SGO Smartmatic a vendu les systèmes de vote Sequoia à Dominion en 2010. Phil Waldron raconte sa rencontre avec le fils d’un officier de renseignement cubain qui connaissait la famille d’Hugo Chavez. Les membres de la famille ont apparemment affirmé que leur père avait investi de l’argent pour construire le système de machine à voter de SGO.

Dans le sillage de l’enquête sur Dominion, l’un de ses principaux dirigeants, Eric Coomer, serait entré dans la clandestinité. Les sièges sociaux de la société au Canada et aux États-Unis ont été fermés.

Sidney Powell, l’avocate très en vue de fraude électorale, a fait venir un témoin expert affirmant que la Chine et l’Iran avaient facilement accès aux données de Dominion.

Les risques de la cybersécurité

Phil Waldron avertit que les systèmes de vote utilisés en Amérique sont connectés à Internet et à des serveurs en dehors des États-Unis. « Ils sont connectés de haut en bas et au milieu. Il n’y a aucune transparence... quant à la façon dont les informations sur les électeurs sont traitées, comment et où elles sont stockées. L’enregistrement des votes peut être modifié et/ou supprimé par des opérateurs, des administrateurs et des menaces extérieures. Les opérateurs peuvent attribuer des votes pour des bulletins de vote écrits, des bulletins blancs ou des bulletins d’erreur en grand nombre afin qu’ils puissent être dirigés vers un candidat ou un autre à la discrétion de l’opérateur ou du superviseur », a-t-il déclaré lors de l’audition.

Un « White Hat Hacker » (pirate en chapeau blanc) dans l’équipe de Phil Waldron, a découvert un logiciel malveillant sur les serveurs qui capture les mots de passe et les données de connexion de chaque opérateur qui se connecte aux machines de vote, jusqu’au niveau du bureau de vote. Phil Waldron affirme que les systèmes de vote permettent essentiellement aux utilisateurs autorisés et non autorisés d’annuler, de déplacer et de précharger des votes à grande échelle en temps réel. Les experts de son équipe ont calculé que jusqu’à 1,2 million de votes en Pennsylvanie auraient pu être frauduleux ou altérés.

Le comté de Maricopa n’a apparemment pas réussi à valider les signatures sur 1,9 millions de bulletins de vote. (Image : pixabay / CC0 1.0)
Le comté de Maricopa n’a apparemment pas réussi à valider les signatures sur 1,9 million de bulletins de vote. (Image : pixabay / CC0 1.0)

L’expert en cybersécurité a également expliqué qu’il y avait des « anomalies de pics » dans le traitement des bulletins de vote par les machines de vote. Ces anomalies indiquent qu’un grand nombre de votes ont été traités pendant une très courte période de temps, ce qui est mécaniquement impossible dans des circonstances normales. Sur le nombre de votes représentés par ces « anomalies de pics », Phil Waldron estime qu’environ 570.000 d’entre eux sont allés à Joe Biden alors qu’un peu plus de 3.200 ont été comptés pour Donald Trump.

Anomalies en Arizona

Phil Waldron a également participé à une audience publique récemment organisée par l’équipe juridique de Donald Trump avec certains membres du corps législatif de l’Arizona. Cette réunion avait pour but d’examiner les preuves d’irrégularités électorales dans l’État. Au cours de l’audience, Phil Waldron a révélé qu’un fonctionnaire du comté de Maricopa lui avait avoué que le comté n’avait pas réussi à valider les signatures sur 1,9 million de bulletins de vote, créant ainsi effectivement un potentiel de fraude électorale massive.

Un autre témoin anonyme du comté de Pima a informé Phil Waldron que certains votes avaient été manipulés dans différents quartiers, au profit de Joe Biden. Dans une lettre adressée au ministère américain de la justice et à l’assemblée législative de l’Arizona, le témoin anonyme écrit qu’environ 35 000 votes frauduleux ont été ajoutés au total des votes de chaque candidat démocrate. Ce plan a été discuté lors d’une réunion organisée par le parti démocrate dans le comté de Pima le 10 septembre.

Le colonel Phil Waldron a ajouté que la déclaration du témoin anonyme coïncide avec une anomalie survenue le soir de l’élection, lorsqu’un total de 143 000 votes a soudainement été injecté à 20h06, un nombre qui, selon lui, dépasse ce que les machines de vote pouvaient traiter. De ce fait, il a demandé un audit médico-légal complet pour enquêter correctement sur la question.

Rédacteur Fetty Adler

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