Shen Yun achève sa tournée française, au mois de mai, mois du muguet, sous le signe d’heureux auspices

L’ouverture du spectacle Shen Yun 2024 n’est pas sans rappeler, à l’instar de la mythologie grecque antique, le bel Apollon parcourant le Ciel sur son char doré. Apollon, ce Dieu des arts, ayant créé pour les pieds délicats de ses neuf muses un tapis de muguet et ses clochettes divines. Donc, pas de hasard me direz-vous pour un joli mois de mai.

Mme Julie Heslouin, enseignante en CE1, accompagnée de ses enfants, Romane et Marius l’ont d’ailleurs exprimé tout naturellement, ici, au Palais des Congrès de Paris par ce joli mois de mai parisien.

Le fil directeur de Shen Yun : l’omniprésence des êtres divins

Madame Julie Heslouin martèle discrètement…

« Oui, le fil rouge… Le fil directeur du spectacle, ce sont les êtres divins qui viennent aider les humains sur terre. Nous sentons que le divin est omniprésent pour l’instant (dans cette première partie du spectacle). Nous verrons par la suite… »

En effet, comme en écho au légendaire Apollon grecque, créateur du muguet, cette divinité, incarnant à la fois le chant, la musique, la beauté masculine, la poésie et la lumière, ici dans le spectacle, le Créateur  descend du cosmos suivi d’une myriade de divinités, bouddhas, taos, dieux, et s’installe parmi nous, sur scène, au fil du spectacle époustouflant, au cœur d’un feu d’artifices de fleurs colorées représentées par les danseuses de Shen Yun, ou encore certaines musiciennes comme en particulier Andrea Li, jouant divinement bien de cet instrument céleste à deux cordes… le erhu. Ces muses d’aujourd’hui, invitent ainsi, chacun des spectateurs à prendre part à un fabuleux voyage immobile, rejoignant par un fil invisible Calliope, Clio, Érato, Euterpe, Melpomène, Polymnie, Thalie, Uranie et… Tiens ! Chers lecteurs, je tairais le nom de la 9ème muse, celle de la danse… À vous de la découvrir… Comme Catherine Fang et Oliver Perret, les Maîtres de cérémonie l’expliquent très bien aux spectateurs, « Shen » signifie « divin », et le « Yun », c’est « la beauté intérieure d’un être qui danse », ainsi « Shen Yun » signifie « la beauté intérieure des êtres divins qui dansent ».

Marius et sa sœur Romane sont totalement d’accord avec leur mère et sont émerveillés par le char doré qui perce l’écran et envahit la salle du Palais des Congrès de Paris, accompagné par ces si beaux chevaux blancs ailés, tels des pégases, créatures fantastiques de la mythologie grecque également, amis des… muses.

Marius confirme, émerveillé, et Romane, sa sœur, ajoute…

« Oui, de plus, le créateur arrive sur son char ailé et dit : " Venez avec moi mes amis, nous allons sauver le monde. " »

Au fil du spectacle, en effet, nous découvrons différents tableaux tous plus somptueux les uns que les autres, dans lesquels les héros humains se trouvent souvent dans des situations inextricables et bien complexes que seule une intervention divine peut dénouer. Mais, cette aide Divine ne sera possible qu’en récompense d’actes de gentillesse, comme par exemple, dans le tableau intitulé : L’histoire de la bonté récompensée, où le jeune héros reçoit une bonne rétribution suite à son acte de générosité pour sauver une vie.

« Le spectateur découvre vraiment ainsi, la mythologie chinoise », peuplée d’une infinie multitude de bouddhas, taos, divinités diverses et variées.

Marius complète sa compréhension du spectacle…

« En fait, la Terre a été peuplée par des Dieux au départ, qui venaient du Ciel et les Dieux sont arrivés sur Terre. C’est sympa comme vision des choses. »

Romane investie, réitère : « Venez avec moi ! Nous allons sauver la Terre ! »

Une fluidité et une liberté dans les danses de Shen Yun

Mme Heslouin est subjuguée par les danses…

« J’aime beaucoup les chorégraphies, toutes ces danses, c’est extrêmement grâcieux. »

Marius souligne…

« Le jeu du tissu, le jeu avec le tissu, les manches... Il y a un mouvement à chaque fois, une grâce, une légèreté. »

« J’ai découvert que la danse classique chinoise n’avait rien à voir avec la danse classique occidentale. Cela a l’air beaucoup moins rigoriste, beaucoup moins cadré. Moi, je préfère… Je trouve cela très fluide, très libre, et il y a une vraie histoire derrière. Cela ressemble un peu au théâtre. »

Romane poursuit…

« Oui, c’est vrai, c’est ce que je me suis dit aussi. Nous ressentons beaucoup plus les émotions que dans la danse classique occidentale, même dans les ballets qui racontent des histoires. Là, c’est beaucoup plus explicite, nous comprenons tout, c’est très théâtralisé. C’est très bien fait, cette transition (entre les 2 mondes), la scène et l’écran, c’est très amusant… »

Marius a adoré la technologie de l’écran digital spécialement breveté pour Shen Yun en 2016, une technologie unique et propre à Shen Yun. « Une invention de Shen Yun Performing Arts qui permet aux artistes d’aller et venir entre la scène et l’arrière-plan animé », comme le souligne un article du programme. 

« Ils disparaissent derrière une estrade et puis d’un coup, tu as l’écran qui reprend le personnage ! »

La génération de Marius et Romane est très friande de cette invention qui permet aux spectateurs de voyager sur des milliers d’années au fil du spectacle et de naviguer entre la Terre et les Cieux, un peu comme si le spectateur était téléporté et immergé dans le spectacle lui-même, naviguant librement dans l’espace et le temps.

Ce qui pour leur mère montre qu’il y a « une très grande maîtrise » au niveau du spectacle entre la synchronisation des danseurs et des arrière-plans changeant durant tout le spectacle.

Puissance de l’orchestre

Shen Yun Officiel, L’Udumbara mystique, « représentation 2016. Le erhu et le pipa pincé mènent souvent la mélodie au cœur de l’orchestre symphonique ».

Le frère et la sœur ont tous deux l’oreille musicale puisqu’ils sont tous deux musiciens et nous parlent ensemble de l’orchestre en parfaite synergie.

Pour Marius : « L’orchestre a l’air petit mais il est puissant ! Honnêtement, le mélange des deux types de musique cela marche très bien ensemble. C’est même essentiel pour plonger dans la culture chinoise. »

« Nous reconnaissons parfaitement les instruments typiquement occidentaux comme le violon, par exemple, mais également, cet instrument chinois avec ses deux cordes : le erhu, et puis, le gong, cela a un effet formidable. »

Shen Yun Officiel, Le Grand Khan, « représentation, 2018. Raconter des histoires à travers la musique, s’inspirant des 5000 ans de civilisation chinoise. »

Romane acquiesce : « Je trouve que la musique est incroyable parce que j’ai vu l’orchestre au début mais je n’ai pas réalisé tout de suite… C’est après quand je l’ai revu, je me suis dit : " Ah mais oui ! C’est un orchestre, ce n’est pas une musique enregistrée ! C’est super ! C’est incroyable ! " »

Shen Yun : « C’est original avec la présence d’un ténor »

Romane évoque le ténor ainsi…

« Je ne m’attendais pas du tout à entendre un ténor. Cela m’a un peu surprise. C’est vrai que nous, nous n’avons pas du tout l’habitude d’écouter des chants comme ceux-là, c’est original, cela nous fait vraiment découvrir la culture traditionnelle chinoise ! »

Finalement, nous constatons que la grande histoire des civilisations semble offrir des similitudes dans ces différentes mythologies, qu’elle soit grecque, latine ou chinoise, elles sont toutes riches d’une variété de légendes fascinantes et de divinités passionnantes. Ainsi, avec des prénoms d’origine latine évidente, Romane et Marius semblaient être prédestinés à notre rencontre ce jour de mai, mois du muguet.

Si vous aussi chers lecteurs, vous souhaitez découvrir les artistes de Shen Yun de derrière le rideau, je vous invite à retrouver leur album photos sur leur blog officiel, en  cliquant ici : Blog officiel des artistes. Vous les découvrirez au cœur des lieux les plus mythiques, des opéras les plus prestigieux du monde entier et vous verrez que même en pause les danseurs ne s’arrêtent jamais de danser !

Soudain, une fragrance agréable m’appelle, je me retourne et vous me croirez si vous voulez les amis, je vois… un bouquet de muguet sur le stand de l’association Connexion à la Tradition, partenaire de Shen Yun et de… Gan Jing World ! Et oui ! Pas de hasard ! L’association présente le #JAimeShenYun et #ILoveShenYun ainsi que le nouveau Concours Vidéo 2024/2025 sur la gentillesse de Gan Jing World ouvert à tous. Un grand concours destiné à encourager la gentillesse et prévenir le harcèlement dans les établissements scolaires, un concours donc pour les collégiens, lycéens, enseignants, écoles, collèges, lycées, universités… Et toutes les personnes qui ont les mêmes valeurs de gentillesse et qui souhaitent les partager au monde entier. Et oui ! Le Concours Vidéo est mondial et les vainqueurs pourront se retrouver sur le mythique écran de Times Square de New York ! Alors, Marius, Romane, Julie, et vous tous chers lecteurs, je vous invite à prendre connaissance de ce concours, peut-être vous inspirera -t-il  à répandre la gentillesse tout autour de vous ? Cliquez sur ce lien pour prendre connaissance des modalités de participation : Cérémonie à Times Square et lancement du nouveau Concours Vidéo 2024/2025.

De plus, pour ceux qui ne connaissent pas Gan Jing World, il s’agit de cette nouvelle plate-forme pour toute la famille ! Dénuée de contenus répréhensibles et utilisant un algorithme non addictif. Si vous souhaitez en savoir plus, voici un article de Vision Times à lire pour rencontrer Madame Céline Buhannic, bénévole de l’association Connexion à la Tradition et qui nous dévoile les secrets de cette nouvelle plateforme familiale. Merci de cliquer ici : L’association française Connexion à la Tradition partenaire de Shen Yun et Gan Jing World.

A bientôt, chers amis lecteurs, pour d’autres pérégrinations au cœur du sublime spectacle Shen Yun !

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