Voici une histoire qui s’est déroulée sous la dynastie Song. Neuf hommes étaient sur le chemin du retour vers leur ville natale après avoir terminé leur service civil. Ils venaient tous du même village.
CHINE ANCIENNE
Tradition. Encourager la liberté d’expression
La compréhension de beaucoup de rois et dirigeants chinois les amenait à comparer le peuple à de l’eau et le gouverneur à un bateau : l’eau peut soutenir un bateau mais aussi le renverser.
Sagesse. Proverbe chinois : Transformer les armes en jade et en soie
Dans la vie quotidienne, les conflits sont inévitables, mais notre réflexion et notre façon de les traiter témoignent de la sagesse de chacun.
Tradition. Comment le rite du mariage décrit ce que l’on devrait valoriser
Le mariage, au sens traditionnel, est l’union entre un homme et une femme. Ce rite est pratiqué depuis des siècles dans diverses cultures du monde.
Sagesse. Proverbe chinois : La plume, l’idée et le travail d’équipe
Pour réussir un projet, vous auriez besoin d’un bon collaborateur, mais savez-vous que parfois cela peut aussi être utile pour démissionner ?
Sagesse. Proverbe chinois : Le renard profite du prestige du tigre
Au cours de la période des Royaumes combattants en Chine, le général Zhao Xi Xu de l’Etat de Chu était très puissant et bien connu.
Sagesse. Posez le couteau de boucher et devenez un bouddha
Dans le monde moderne, les gens emploient souvent l’expression « Laissons le couteau de boucher et devenons un Bouddha » pour persuader les méchants de cesser de faire des actes pervers. Certains bouddhistes utilisent cette même expression pour persuader les gens de ne pas recourir à des paroles, des actes et des pensées pervers.
Sagesse. Proverbe chinois : Le gentilhomme sur la poutre
Chen Shi était un homme vertueux, qui vécut sous les Han orientaux (东汉, 25 - 220 apr. J.-C.), il fut le maire de Taiqiu (太丘). Il était connu pour ses jugements impartiaux et les villageois continuaient à venir le voir, même après sa retraite, pour régler leurs litiges.
Sagesse. Proverbe chinois : Trois glands le matin et quatre le soir
Le proverbe « Trois glands le matin et quatre le soir » (朝三暮四,pinyin : zhāo sān mù sì) tire son origine d’une allégorie du philosophe chinois Tchouang-tseu (庄子, pinyin : zhuāng zǐ) du IVe siècle av. J.-C..