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Monde. La directrice de l’Association of American Physicians and Surgeons s’inquiète de l’absence d’autopsies suite aux décès dus au vaccin Covid-19

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La Dr Jane Orient, membre éminente de l’Association of American Physicians and Surgeons, une association américaine de professionnels de la santé, s’est dite choquée par le fait que non seulement aucune autopsie n’est pratiquée suite aux décès liés au vaccin Covid-19, mais que les agences gouvernementales telles que le CDC, la FDA et le HHS ne l’exigent pas.

Dans un article publié le 7 juillet sur le site Internet de WND, la Dr Jane Orient a exprimé ses préoccupations quant au fait que, sur les plus de 9 000 décès liés au vaccin Covid-19 signalés au VAERS, un seul a fait l’objet d’une autopsie.

Selon  un article publié sur le site Web du NIH par des scientifiques allemands, l’autopsie en question concernait un « homme de 86 ans ne présentant aucun symptôme auparavant, [qui] a reçu la première dose du vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) » et est décédé quatre semaines plus tard d’une insuffisance rénale et respiratoire aiguë.

« Bien qu’il n’ait présenté aucun symptôme spécifique à la Covid-19, il a été testé positif au SRAS-CoV-2 avant son décès », lit-on dans l’article, notant que si, au cours de l’autopsie, « nous n’avons pas observé de traits morphologiques caractéristiques de la Covid-19… ». La cartographie moléculaire post-mortem par réaction en chaîne par polymérase en temps réel a révélé des valeurs seuils de cycle SARS-CoV-2 pertinentes dans tous les organes examinés (oropharynx, muqueuse olfactive, trachée, poumons, cœur, rein et cerveau), à l’exception du foie et du bulbe olfactif.

Jane Orient a également cité le cas de Robin Springs Saunders, une mère de famille de 45 ans de Baltimore qui serait décédée après avoir reçu la deuxième dose d’un vaccin imposé par son nouvel employeur, l’hôpital John Hopkins.

« Il y aura des larmes et des fleurs, mais probablement pas d’autopsie - et pas de pause dans les vaccins exigés pour les mères et les mères potentielles si elles veulent travailler à JHU », a-t-elle déclaré à propos de cette affaire.

Pour Jane Orient, les autopsies sont très importantes

Jane Orient a expliqué qu’elle avait été formée avant l’époque des scanners et des IRM, et que si un patient mourait sans antécédents médicaux, « nous devions appeler le médecin légiste, qui décidait si une autopsie était indiquée. Tout ce qui pouvait être lié au décès, comme des flacons de pilules, constituait une preuve. Si une injection avait été faite, le flacon était récupéré si possible. Avec les vaccins, on est censé enregistrer le numéro de lot, il serait donc possible de vérifier qu’un échantillon n’est pas contaminé. »

« La raison la plus importante était que l’" autel de la vérité " était le mécanisme ultime d’" assurance qualité " ». « Les hôpitaux étaient tenus de pratiquer des autopsies dans une certaine proportion afin de conserver leur accréditation. »

Jane Orient a déclaré qu’elle attachait beaucoup d’importance aux autopsies. Elle a cité une étude menée entre 1970 et 1990, sélectionnant 100 autopsies au hasard, qui a révélé que le diagnostic du médecin du vivant du patient différait de la cause du décès constatée à l’autopsie, dans 22 % des cas.

Elle a également noté que le taux d’autopsies est passé d’une moyenne de 25 % à une moyenne de 5 % au cours des 40 dernières années, « Cela n’a jamais été une source de revenus pour personne, sauf pour les avocats spécialisés dans les fautes professionnelles ».

« J’ai toujours assisté aux autopsies lorsque je le pouvais. L’un des cas les plus flagrants a concerné un patient pour qui l’erreur était flagrante lors de l’ouverture du crâne. Nous n’aurions peut-être pas été capables de le sauver, mais comme nous n’avions même pas pensé au diagnostic, il n’avait aucune chance. »

« Je trouve choquant que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), la Food and Drug Administration (FDA), le Département de la santé et des services sociaux (HHS) et la Joint Commission qui accrédite les hôpitaux n’exigent pas d’autopsies ou de tests sur les échantillons de vaccins », a-t-elle déclaré.

« Il n’est pas possible de déclarer un produit sûr et efficace sans obtenir de preuves directes de la part des victimes potentielles. »

Le décès d’une jeune fille de 18 ans en Italie

Début juin, l’Italie a décidé d’interrompre l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca suite au décès d’une jeune fille de 18 ans, Camilla Canepa, victime d’une forme rare de caillot sanguin quelques jours après avoir reçu le vaccin d’AstraZeneca, lors d’une « journée portes ouvertes » de vaccination ciblant les jeunes.

Selon la version d’un article publié dans le quotidien italien Il Piccolo, Gianluigi Zona, neuro chirurgien et directeur de la clinique de neurochirurgie et de traumatologie cérébrale de l’hôpital général San Martino de Gênes, qui a opéré Camilla Canepa pour tenter de lui sauver la vie, a déclaré : « Je n’avais jamais vu un cerveau réduit dans ces conditions par une thrombose aussi étendue et sévère. »

« Tous les sinus veineux étaient obstrués par des thrombus [caillots sanguins], un scénario que je n’avais jamais vu les nombreuses années que j’exerce ce métier… Il faut se représenter le sinus veineux comme une rivière au milieu d’une vallée dans laquelle convergent de nombreux ruisseaux différents. »

« Si vous construisez un barrage au centre du cours d’eau, la rivière se gonfle et à ce moment-là, les affluents ne peuvent plus s’écouler, avec pour conséquence une augmentation de la pression en amont », a expliqué Gianluigi Zona.

« Face à ce que j’ai vu dans la tête de cette jeune fille, il est clair que nous sommes confrontés à quelque chose d’anormal ».

Rédacteur Fetty Adler

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