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Monde. Fraude électorale : le rapport d’audit du Dominion publié

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Cinq swing states sont concernés et pourraient renverser la situation aux États-Unis

Rapport d’audit des machines de vote Dominion. (Image : Capture d’écran / YouTube)
 

Le 14 décembre dernier, le juge Kevin Elsenheimer de la 13ème cour de circuit du Michigan a décidé que le rapport de dépôt des 16 machines de vote du Dominion dans le comté d’Antrim, Michigan, devait être autorisé à la publication. C’est à ce moment que le secret du changement du vote de nuit de Dominion a finalement été révélé. Comme le système du Dominion a été utilisé à grande échelle lors de l’élection américaine, y compris dans tous les États-charnière, le rapport pourrait inverser la situation.

Le taux d’erreur de Dominion a été délibérément configuré à 68,05 %

Le Groupe conjoint des opérations de sécurité (ASOG) a conclu, sur la base des analyses des preuves (lien vers le rapport original), que le taux d’erreur des machines à voter du Dominion a été délibérément fixé à 68,05 %, ce qui a entraîné une fraude électorale systémique et affecté les résultats des élections. Matthew DePerno, l’avocat constitutionnel qui avait commandé les expertises de l’ASOG, a déclaré que selon le rapport, le système de vote du Dominion ne devrait pas être utilisé dans le Michigan. Les résultats des élections dans le comté d’Antrim ne doivent pas être certifiés.

« Cela démontre une erreur fatale majeure dans la sécurité et l’intégrité de l’élection », selon le rapport.

Les médias de gauche et le secrétaire d’État Jocelyn Benson l’avaient qualifié d’’incident de dysfonctionnement de la machine causé par une erreur humaine. L’avocat constitutionnel a rétorqué que le secrétaire d’État avait clairement menti. Le rapport montre que l’erreur dans le système de vote de Dominion a été causée par la conception du système et le logiciel de vote lui-même.

Ce système a délibérément généré un grand nombre d’erreurs de comptage des bulletins de vote et a ensuite remis les bulletins électroniques au processus d’arbitrage. Cette erreur a entraîné l’entrée d’un grand nombre de bulletins de vote dans le processus d’adjudication, ce qui, sans surveillance, sans transparence et sans suivi d’audit, peut conduire à une fraude électorale massive.

Matthew DePerno a expliqué que 68,05 % des bulletins sont envoyés au traitement par lots lorsqu’ils sont placés dans la machine, ce qui signifie qu’ils sont rassemblés dans un dossier et envoyés à un endroit spécifique où ils peuvent être modifiés.

« Nous avons conclu que le système de vote Dominion ne devrait pas être utilisé dans le Michigan », a noté l’avocat, « et que les résultats des élections dans le comté d’Antrim ne doivent pas être certifiés. »

Il soutient que le détournement des votes (les votes pour Donald Trump comptabilisés sur le compte de Joe Biden) est basé sur un algorithme, « qui peut être réalisé manuellement ou mécaniquement. Nous pensons que c’est la deuxième méthode (qui a été utilisée). Je pense qu’il a été expédié hors du site pour être modifié, puis renvoyé dans le système, ou qu’il a été fait directement dans le programme », a-t-il déclaré.

Le projet Amistad affectera cinq États-charnière

Le projet Amistad de la société Thomas More, qui a déjà intenté des poursuites dans cinq États charnière, a annoncé le 14 décembre qu’il avait demandé aux tribunaux de cinq États de conserver des preuves pour empêcher les fonctionnaires de l’État et des collectivités locales de saboter la machine à voter du Dominion après la publication de ce rapport médico-légal.

« Les taux d’erreur détaillés dans ce rapport ont des implications pour chaque État où nous intentons des poursuites », a déclaré Phill Kline, directeur du projet Amistad, « Cela, ainsi que d’autres preuves irréfutables, prouvent que les élections dans ces États ne peuvent être certifiées en vertu de la loi. »

Les cinq États-charnière - Pennsylvanie, Arizona, Géorgie, Michigan et Wisconsin - ont tous utilisé le système du Dominion lors de cette élection.

Amistad Project. (Image : Capture d’écran / YouTube)
Amistad Project. (Image : Capture d’écran / YouTube)
 

Autres résultats surprenants : documents supprimés en violation de la loi

Le rapport a listé au moins trois autres découvertes surprenantes.

Tout d’abord, les totaux des votes ont changé le 3, le 5 et le 21 novembre.

Les machines de vote du Dominion ont été soigneusement conçues pour être utilisées de manière frauduleuse selon Matthew DePerno. « Il s’agit d’une grande entreprise de logiciels ou d’une entité étrangère derrière elle. Il y a d’autres forces derrière », a-t-il déclaré, « et cela viole tous les protocoles de cybersécurité. »

Matthew DePerno a précisé aux experts d’ Internet que Sheryl Guy, la greffière du comté d’Antrim, n’était que le bouc émissaire. « Je suis sûr que la secrétaire d’État Jocelyn Benson le sait, c’est pourquoi elle n’a pas dépensé un centime pour une formation sur l’utilisation des logiciels ou des machines, mais a dépensé des millions de dollars pour mettre une " urne Zuckerberg " (PDG de Facebook) à Detroit », Matthew DePerno a déclaré aux expert d’Internet, « au cas où quelque chose tourne mal, elle puisse en rejeter la faute sur son personnel. »

Deuxièmement, la suppression des documents en question, le 4 novembre dernier, serait illégale.

Matthew DePerno poursuit que le rapport stipulait : « Le 4 novembre, les documents d’Internet et les documents de falsification des votes ont été supprimés. Ils ont perturbé les résultats des élections et violé la loi de l’État. La loi de cet État exige que ces registres soient conservés pendant deux ans après l’élection, mais ils les ont effacés ! »

L’équipe médico-légale tente toujours de retrouver les documents supprimés.

« Le secrétaire d’État ment quand il dit que c’était une erreur humaine. Peu importe que le système ait été mis à jour ou non, les tests de l’équipe médico-légale montrent que la mise à jour présente toujours un taux d’erreur de 68,5 % », a déclaré Matthew DePerno.

Troisièmement, le programme permet aux administrateurs de comté d’accéder à la machine avec un mot de passe apposé sur le dessus de la machine et de sélectionner la « fonction pondérée ». Matthew DePerno a ajouté que la machine est vulnérable au piratage, de sorte que le personnel impliqué peut tout expliquer par « erreur humaine ».

Il a précisé qu’il y a deux questions à éclaircir, l’une est « Qui a fait ça ? », l’autre est « S’est-il produit hors site ? »

Contexte de l’action en justice

La 13e cour de circuit du Michigan a autorisé l’équipe d’experts en informatique de William Bailey à mener une enquête sur la déposition de 16 machines de vote Dominion et de machines de comptage dans le comté d’ Antrim suite au procès intenté par ce résident de Central Lake. La 13e cour de circuit du Michigan a permis à l’avocat des plaignants, Matthew DePerno, d’ouvrir la déposition après l’audience du 14 décembre.

La façon dont le tribunal tranchera l’affaire après la publication du rapport sur la déposition aura une incidence sur le résultat des 48 comtés du Michigan et les autres États-charnière qui utilisent le même système, ainsi que sur l’avancement de la bataille juridique de l’équipe de M.Trump. Le peuple américain et le monde entier observent l’avancement de l’affaire.

Rédacteur Yi Ming

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