La ville de Hong Kong a mis en place une nouvelle ligne téléphonique pour dénoncer les personnes soupçonnées d’agir contre la loi de sécurité nationale.
L’ambassadeur de Chine au Canada , Cong Peiwu, a émis une menace à peine voilée à l’encontre du Canada pour son soutien aux manifestants de Hong Kong, disant que cela pourrait mettre en danger les Canadiens à Hong Kong.
Dans une interview accordée à Fox Business News, le président américain Donald Trump a assuré que, sous le contrôle du PCC (Parti communiste chinois), Hong Kong perdrait bientôt son statut de puissance économique.
William Guo est né à Pékin à la fin des années 1980. Il fait partie d’un groupe de jeunes itinérants instruits de Chine continentale vivant et travaillant à Hong Kong.
Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur une présentation récente de l’industriel de Hong Kong Yuan Gongyi à San Francisco. La première partie peut être lue ici.
Le 30 juin, la loi de sécurité nationale de Hong Kong est entrée en vigueur. Cette loi, soigneusement conçue par Pékin, érode complètement l’autonomie de Hong Kong, mettant ainsi fin, pour l’essentiel, à la nature ouverte et démocratique de la ville.
Récemment, l’industriel de Hong Kong, Yuan Gongyi, ou Daddy Yuan, comme la plupart des gens l’appellent, s’est envolé de Washington pour San Francisco où il a été invité à faire une présentation le 16 août.
Disney est très occupé à faire de la publicité pour son prochain film Mulan, qui devrait sortir en salle en septembre. Cependant, le film suscite une immense animosité en ligne, après que sa star Liu Yifei, ait outragé les Hongkongais en soutenant les actions du Parti communiste chinois (PCC) dans la ville.
Le Département d’État américain a notifié aux autorités de Hong Kong la suspension ou la résiliation des accords bilatéraux concernant l’extradition et les exonérations fiscales après que la Chine a imposé sa loi de sécurité nationale de grande envergure à l’ancienne colonie britannique.
Le 10 août, la police de Hong Kong a arrêté sept personnes, dont Jimmy Lai, fondateur de l’Apple Daily, un journal de style tabloïd de Hong Kong qui fait partie de Next Digital, la société mère.
Cela fait 23 ans que Hong Kong a été réunifiée à la Chine. Les temps ont changé, mais je repense souvent aux rues animées de Hong Kong dans les années 1980, où des colporteurs vendaient des snacks tels que du tofu puant, des boulettes de poisson, des nouilles à la saucisse et des nouilles wonton....... les étudiants affluaient pour les acheter après l’école.
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis que Pékin a imposé la loi sur la sécurité nationale à Hong Kong, mettant ainsi un terme à l’autonomie de la région et faisant de cette ville la énième sous contrôle communiste.
L’activiste très apprécié de Hong Kong, Joshua Wong, a récemment annoncé qu’il abandonnait son rôle de Leader du parti d’opposition Demosisto, son groupe pro-démocratie. Celui-ci a finalement été dissous.
La loi de Pékin sur la sécurité nationale rend la vie difficile aux Hongkongais. Alors qu’auparavant, il leur était possible d’émettre des critiques à l’encontre du Parti communiste chinois (PCC) et de parler librement des droits de l’homme, de telles attitudes vont maintenant être taxées de subversion portant atteinte à l’État et les conduire à l’emprisonnement. La loi affecte non seulement les H
Yuan Gongyi, un industriel de Hong Kong âgé de 72 ans, a pris ouvertement position pour s'opposer à la loi dite de sécurité nationale promulguée contre Hong Kong par le régime communiste chinois.
Hong Kong est un sujet très sensible pour la Chine. Le projet de loi de Pékin sur la sécurité nationale applicable sur le territoire semi-autonome, vise à renforcer le pouvoir du Parti communiste chinois (PCC).
Le Parti communiste chinois (PCC) a approuvé une loi sur la sécurité nationale qui permettra au gouvernement du continent de criminaliser les activités à Hong Kong identifiées comme étant un défi à l’autorité du Parti dans la ville.